imgres Henning MANKELL : « les chiens de Riga »

Voilà, l’assoupissement ne vient pas alors on ouvre un livre  qui traîne et qui n’est pas ceux que l’on devrait lire et là il est impossible de le lâcher avant la dernière page .

Et oui je croyais l’avoir ouvert  pour trouver le sommeil, raté, il est plus de 4 heures quand enfin j’arrive à l’épilogue et peu prétendre dormir.

Alors faite attention, danger !