Nicolas Le Floch est orphelin pour la seconde fois.
Voilà un mois que Jean François Parot, s’en est allé pas loin de Guérande, dans mon village qu’il appréciait particulièrement.
La série policière qu’il écrivait à raison d’un livre en moyenne par an était riche par ailleurs de faits historiques sur lesquelles il aimait s’appuyer pour donner plus de véracité à son texte.
Il était fin gourmet et passionné de cuisine et ceux qui avaient la chance de partager sa table s’en souviendront, je pense car ils aimaient raconter ses diners.
Par cette missive je voulais lui rendre le dernier hommage que je n’avais pas eu le temps de faire.