INGRÉDIENTS

18 œufs de caille, c’est ce que contenait la boite
2 cuillères à soupe de sauce soja noire 
1 cuillère à soupe d’huile d’olive

gomasio

Préparation.
Remplir une casserole d’eau et porter à ébullition. Placer les œufs à l’intérieur et faire cuire pendant deux minutes à quatre minutes selon comme vous les aimez plus ou moins durs. Retirer, rafraîchir à l’eau froide et peler. Mélanger le soja et l’huile dans un bol, ajouter les œufs, les enrober dans le mélange et laisser mariner pendant 30 minutes. disposer chaque oeuf avec une brochette et servir avec le gomasio à côté, chacun trempera dedans avant de déguster. Le gomasio à la maison est sur la table aux repas, il permet d’assaisonner les plats si on le souhaite sans pour autant utiliser beaucoup de sel. /gomasio/

Etape que je n’ai pas faite

Placer une poêle à frire sur un feu moyen à élevé et laisser jusqu’à ce qu’elle soit chaude. Retirez les œufs de leur marinade et placez-les sur la plaque chauffante. Après 20 secondes, retournez-les et laissez encore 20 secondes, pour obtenir des marques de carbonisation de tous les côtés. 

https://ottolenghi.co.uk/

Peut on considérer ce livre comme étant en couleur pastel ? Ce livre a été conçu par Pascal Convert qui a exposé l’an passé au Chateau de Chaumont non seulement ce livre mais toute la bibliothèque, celle ci entièrement à l’image du livre réalisée d’ouvrages cristalisés par le feu ; ils ont remplacé les livres de la bibliothèque des Broglies qui a brulé en 1957. La chambre à coucher des invités ouverte que sur réservation. Il a aussi conçu à quelques kilomètres d’ici les vitraux de l’abbaye de St Gildas, ces vitraux sont poignants car pour les réaliser il s’est inspiré de l’histoire des lieux et sont réalisés en cristal monochrome transparents représentant des enfants. L’artiste avait souhaité s’inspirer de la dédicace de Saint-Gildas, invoqué pour soigner la folie. Il s’est ainsi procuré, auprès des Archives nationales, des photos d’enfants tirées du livre Invention de l’hystérie, de Georges Didi-Huberman, ouvrage relatant les pratiques réalisées autour de l’hystérie à l’hôpital de la Salpêtrière du temps de Charcot. Les visages ont été modifiés afin de représenter les enfants les yeux clos, en situation de méditation. Ainsi sont nés les portraits figurant sur les vitraux. Bien que ceux ci soient ainsi vous avez l’impression qu’ils vous suivent du regard…

Ma participation au challenge de Ma

lundi : /agneau-aux-poivrades/

mardi : /jambalaya-aux-crevettes-petits-pois-chorizo/

mercredi : /boulettes-dagneau/

jeudi :/salade-de-pommes-de-terre-au-porc/

vendredi : /frittata-legere-aux-noix/

samedi : /gateau-aux-pommes-au-fromage-blanc/

dimanche : /rouelle-de-porc-au-barbecue/

J’ai essayé de lire divers auteurs japonais. Je ne sais pourquoi en ce moment j’ai du mal à ouvrir un ouvrage ?

Il y a le livre dont j’ai parlé dans mes encours précédents de janvier : les dames de kimoto celui lu pour le mois japonais :

la marche de Mina

C’est l’histoire d’une petite fille confiée à son oncle et tante durant un an pendant que sa mère qui l’élève seule par faire des études à Tokyo. Chez eux elle découvre un monde différent une maison pleine de vie, de fastes, une grand mère allemande donc un mélange de rituel japonais et occidental.

Je n’ai pu m’empêcher de faire un parallèle avec un livre complètement différent puisqu’à l’inverse c’est une fillette confiée de même à son oncle et sa tante mais eux n’ont pas d’enfants donc il y a des maladresses et des non dits mais pour elle du calme car elle quitte une fratrie nombreuse et bruyante qu’elle n’a pas envie de retrouver. (soit les trois lumières de Claire Keegan. Juste une parenthèse )

Sinon le livre en cours mais non terminer pour cette fin de mois : la péninsule aux 24 saisons :

dans un paysage de rizières, en bord de mer, une femme en désaccord avec le monde entreprend la redécouverte d’une tranquillité solitaire. Durant un an soit 24 saisons japonaises elle réapprend à écouter les fleurs, la nature, à remplir un carnet de haïkus en attendant les lucioles. Un livre plein de poésie que je mets du temps à lire mais peut être le demande t il ?

Ingrédients pour 2 personnes 

350 g de filet mignon de porc, environ 

3 poires

10 cl de porto blanc 

huile d’olive, poivre, thym

1 cuillère à soupe de miel 

Préparation

Couper le filet mignon en tranches de 3 à 4 cm. Dans une poêle huilée faire revenir la viande sur toutes ses faces, poivrer répartir le thym. Eplucher les poires, les détailler en cubes et les ajouter au contenu de la poêle. Mettre le miel et faire caraméliser le tout avant de verser le porto et laisser mijoter environ 10 minutes selon l’épaisseur de votre viande. 

Servir sans attendre, pour moi avec les carottes et des pommes de terre cuites à la vapeur en complément. 

Vous pouvez faire mariner la viande durant 30 minutes dans un mélange huile, poivre thym dont vous l’aurez badigeonner. 

Si vos poires sont prêtes trop tôt n’oubliez pas de les citronnés pour qu’elles ne noircissent pas.

Si votre sauce réduit trop vite faire un ajout d’eau. 

On peut utiliser du porto rouge mais votre plat aura moins belle allure car celui-ci va teinter vos poires. 

Une recette découpée dans un magazine, lequel ? Je suis en ménage printemps et je vais vous en sortir quelques unes ainsi, je pense… 

Ingrédients  pour 2 personnes :

huile d’olive 

1 belle gousse d’ail émincée

350 g de filets ou dos de poissons blancs

1/2 boîte de tomates en sauce pour moi des tomates cerises

1/2 brique de crème de coco ;

1 petit oignon rouge émincé

1 pincée de piment d’Espelette.

Préparation :

Détailler le poisson en cubes si votre poissonnier ne l’a fait. Faire chauffer l’huile d’olive dans un wok. Ajouter l’oignon émincé et l’ail ; cuire jusqu’à ce qu’ils soient translucides. Mettre les tomates et bien mélanger. Verser la crème de coco et mélanger à nouveau avant de mettre le poisson et les poivrons si vous avez  ainsi que le piment d’espelette ! Laisser mijoter à feu doux une vingtaine de minutes en surveillant que votre plat n’attache pas. 

Servir avec du riz et autres légumes.

Il y avait des poivrons ; je ne me souvenais plus que le congélateur n’en contenait plus…

Recette découpée en son temps dans un magazine, lequel ?