Octobre est le mois où les le foin, la paille est engrangée pour le cas où les bêtes soient tenues d’être enfermées. La récolte des champignons, la pluie et la terre encore chaude facilitent leur poussée. Les oies qui profitent de leurs derniers instants de liberté avant le gavage. La flore se pare de belles couleur pour nous dire adieu.
Il y aurait pu y avoir les derniers dalhias, les asters, … Mais la météo bretonne ne m’en a pas laissé le temps.
Nous nous sommes évadés quelques jours en Bretagne Nord du côté de Lannion et nous en avons profité pour faire un peu de randonnée le long du chemin côtier que nous pratiquons régulièrement lors de nos escapades dans ce coin de Bretagne. En voici quelques photos prises la dernière fois que je partage.
Nous nous sommes rendus aussi au domaine de Cruguil à Lannion
Il y a eu aussi le marché à Lannion et une escapade au Yaudet, un charmant village ou la rivière se jette dans la mer et le petit port de pêche de Locquirec et la vue de la maison, l’autre photo a servi dans le billet de « vent ».
Luis Sepulveda : le vieux qui lsait des romans d’amour
Un live que je n’ai pas aimé, creux, sans intéret ou bien je m’attendais à autre chose et j’ai été déçue compte tenu de ce qu’il en était dit dans les médias :
Eric Fottorino : L’homme qui m’aimait tout bas
Un bel hommage à son père adoptif. Il fait voir à travers ses pages que nous passons à coté des choses simples de le vie, peut être encore plus celles de nos proches…
Melissa Da Costa ; Tout le bleu du ciel
J’ai fait confiance à une personne que je ne connaissais pas, venue à la maison visitée le jardin et qui l’avait lu pendant le confinement. Alors là, j’ai beaucoup aimé, la maladie y est traitée avec sobriété, la douleur, le chagrin tout est équilibré et plein de sérénité malgré la détresse de ces deux êtres qui se trouvent par le hasard et se donnent un souffle de vie jusqu’à la mort que l’on connait dès les premières pages, je ne vous dévoile rien, donc.
Extrait d’un article du journal « l’Orient-Le Jour » du 21 février 2000
L’Arménie enterre le général Antranik, héros de la guerre contre les Turcs
« Quelque 20 000 Arméniens ont assisté hier à l’enterrement du général Ozinian Antranik, héros de la résistance contre les Turcs au début du siècle, dont le corps avait été ramené de France vendredi. Une messe funèbre a d’abord été célébrée par le catholicos Karékine II à sa résidence d’Etchmiadzine, à la mémoire du militaire décédé en 1927, et qui avait été enterré au cimetière parisien du Père Lachaise en 1928, après son décès en exil en Californie (États-Unis) à 62 ans. Le corps a ensuite été amené dans la capitale arménienne, Erevan, où 20 000 personnes ainsi que la direction politique du pays et le président arménien Robert Kotcharian ont assisté à l’enterrement. Le corps du général Antranik a été inhumé au cimetière Erablour à Erevan, où se trouvent les tombes des officiers arméniens tués dans le conflit du Nagorny-Karabakh, enclave peuplée d’Arméniens en Azerbaïdjan (1988-1994). »
Même si le cercueil a été oté au Père Lachaise, la statue est restée.