Ce train est immobile depuis longtemps et le restera, je pense un moment ! C’est le train de Lawrence d’Arabie dans le désert jordanien, je pense être dans le thème de https://ducotedechezma.fr/

lundi : Dhal de lentilles corail

mardi : Cuisses de poulet au citron & paprika

mercredi : Invisible aux poires

jeudi : Chou fleur façon taboule

vendredi : Omelette forestière

samedi : Poulet Korma

dimanche : roti de veau vapeur

Et je m’aperçois que je suis restée silencieuse la semaine dernière ! le thème était ancien

Jouissant d’un engouement populaire en Espagne, beaucoup d’observateurs penseraient que ce pays serait à l’origine de cet art du combat à mort contre le taureau.
Les historiens s’accordent à maintenir que la tauromachie a connu sa plus grande impulsion en Espagne, tout en confirmant que sa véritable origine proviendrait sans doute dans les alentours du massif des Pyrénées, là où vivaient paisiblement les troupeaux de taureaux sauvages bien avant le IXième siècle de notre ère.
Une des premières allusions à cet art est cependant affirmée dans les récits de diverses fêtes tauromachiques royales qui eurent lieu au Royaume d’Espagne vers les années 815.

Puis, à une période plus proche de l’époque actuelle, certaines histoires font état de diverses pratiques de la tauromachie codifiée initiée par une minorité de nobles cavaliers, les « caballeros en plaza », en Espagne vers le XVIième siècle.
Déjà, ces récits d’époques lointaines font étalage de cavaliers achevant les taureaux avec une lance puissante et acérée.
Prise de pouvoir par le peuple oblige, c’est enfin vers le XVIIIième siècle que se « démocratisa » la pratique de corrida à pied, largement appliquée par les souches populaires des régions espagnoles et françaises.Par moment largement décrié pour sa violence et ses pratiques sanguinaires, cette discipline est néanmoins amplement appréciée dans diverses contrées du globe : dans le Midi de la France, en Espagne, au Portugal, et dans plusieurs états d’Amérique latine comme la Bolivie, le Venezuela, la Colombie, l’Équateur, le Mexique ou encore le Pérou.
Devenue aujourd’hui un divertissement spectaculaire, la tauromachie propose des variantes selon les pays : du rodeo chileno au Chili aux courses landaise et camarguaise en France, en passant par les toros coleados au Mexique et au Venezuela, ses règles et ses pratiques diffèrent.
Mais les férus de cet art sont unanimes : qu’importe les règles et les pratiques, la tauromachie demeurera éternellement la lutte acharnée entre l’homme et le taureau.

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