Luis Sepulveda : le vieux qui lsait des romans d’amour

Un live que je n’ai pas aimé, creux, sans intéret ou bien je m’attendais à autre chose et j’ai été déçue compte tenu de ce qu’il en était dit dans les médias :

Eric Fottorino : L’homme qui m’aimait tout bas

 Un bel hommage à son père adoptif. Il fait voir à travers ses pages que nous passons à coté des choses simples de le vie, peut être encore plus celles de nos proches… 

Melissa Da Costa ; Tout le bleu du ciel 

J’ai fait confiance à une personne que je ne connaissais pas, venue à la maison visitée le jardin et qui l’avait lu pendant le confinement. Alors là, j’ai beaucoup aimé, la maladie y est traitée avec sobriété, la douleur, le chagrin tout est équilibré et plein de sérénité malgré la détresse de ces deux êtres qui se trouvent par le hasard et se donnent un souffle de vie jusqu’à la mort que l’on connait dès les premières pages, je ne vous dévoile rien, donc.